ah l'bel oeuf ! (envoi d'Hozan Kebo)

"hello

t'as vu que le colibri a pondu un oeuf à  Metz, 10h41?" (Hozan Kebo)

(cliquer sur la vignette pour voir en plus grand)

Commentaire de Daily Life : le design des lampadaires de la place Charles de Gaulle à Metz est l'œuvre du réputé Philippe Stark !

(pour voir le billet auquel Hozan Kebo a fait écho : c'est là)

Les niouz'échos d'Hozan Kebo

(cliquer sur les vignettes pour voir les images en grand)

"perdu(e) et maladroit(e) :
c'est très bien comme ça
il faut être habile
pour se pendre"
(Hozan Kebo)

(cliquer sur les vignettes pour voir les images en grand)

Pour voir les cartes postales originales de kl loth,
Cf. Perdu/e et maladroit/e ! (kl loth)

ici / ici bas / je(le)reste (écho d'Hozan Kebo)

"envie féroce de faire écho à DA/DORT/FORT
pourquoi s'en priver ?
donc ICI/ICI BAS/JE(le)RESTE
sur fond de traces de sang sur un kleenex
(ICI ou DA/là : tant qu'on saigne on vit, non?)"
(Hozan Kebo)

(cliquer sur les vignettes pour afficher les images en plus grand !

HK /LR

Remarque : je ne sais pas pourquoi ce cadre gris est apparu autour des images. Je ne peux pas le trouver au niveau du code html accessible… Zut !

Dame singulière

« dame singulière dont l'aspect et la vêture frappent le regard (bandes de tissus colorés, maquillage approximatif et caricatural, visage ravagé par le temps…).
Peut-on parler de "/street art brut/" ? »
Cf. billet "S'exprimer (envoi de François Cini)".

Non ! on ne peut pas parler de street art brut ni d'art brut street ni de brut art street : on se contente de dire à la dame singulière que tout plein de colibris se percheront sur son immense chapeau de paille vieux rose (parce qu'elle porte forcément un immense chapeau de paille vieux rose, l'été, cette dame singulière) !
(Hozan Kebo)

(cliquer sur la vignette pour voir l'image en plus grand)

(note de Daily Life / kl loth : il me semble qu'elle porterait plutôt un couvre-chef du genre "charlotte", et non un chapeau de paille… à voir, un jour…)

Là et las (dodo H. Kebo !)

(pour voir l'original avant l'intervention d'Hozan Kebo, c'est ici)

"rentrant du turbin à une heure plus que tardive
je me retrouve enfin ici
mais las

d'où écho las (la lie du jour ?)

sur ce vite vite un petit truc à manger et après ce là las un gros dodo (si ! si !)"

(HK/LR)

(cliquer sur la vignette pour voir l'image en plus grand)

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Commentaire de Daily Life : Lalalère…

pinky mood soon ? (Hozan Kebo's demand)

archives de "Daily Life" : tag "rose"  : 20/04/09 "je n'en ai pas fini avec le rose"
24/03/09 "Le rose est une des couleurs les plus controversées, provoquant des rapports subjectivement passionnels, de la fascination et l'amour inconditionnel, à la répulsion la plus totale."

DONT ACTE !
(Hozan Kebo)

(vignette à cliquer pour voir en plus grand)

Hozan Kebo est un serial posteur de colibris !

(pour voir la photo avant détournement, cliquer ici)

"buckcolibridanysation ?"
(envoi d'Hozan Kebo)

(cliquer sur la vignette pour voir l'image en plus grand)

Hozan Kebo squeeze "Wild Thing"

(pour voir l'image originale, avant l'intervention d'Hozan Kebo, c'est ici)

"ah la version de "wild thing" par Kat Onoma !
mais surtout celle d'Hendrix dans son "Live at Monterey""
(Hozan Kebo)

(cliquer sur la vignette pour voir l'image en plus grand)

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Sur le blog d'H. Incorporated, Melody Haunts My Reverie, on trouve la vidéo de l'interprétation de "Wild Thing" par Jimi Hendrix… ce qui m'a donné l'idée d'utiliser quelques paroles des Troggs pour un "arrêt sur phrase", en résonance avec "TU ME TROUBLES".
(kl loth)

dans l'troubillon d'la vie ? (mixé par Hozan Kebo)

"ce qu'en dit Big Bob

troubler [tYuble] v. tr.
ÉTYM. 1080, la Chanson de Roland ; du lat. pop. *turbulare (lat. class. turbare), de *turbulus (→ 1. Trouble); var. tourbler, et, par métathèse, troubler, trobler, en anc. franç., «  mêler, mélanger  » et, fig., «  ennuyer, mécontenter »

me plaît assez de découvrir que la première trace écrite de "troubler" soit dans la Chanson de Roland
par quoi le Preux fut il "troublé" ?" (HK/LR)

(envoi d'Hozan Kebo, concernant le billet Latest News…, cliquer sur la vignette pour voir en plus grand)

"Ne pas vivre mort" (variations d'Hozan Kebo)

"Quatre petits variations "graph'poemes" autour de l'objet du débat  À quoi sert d'écrire ? À ne pas vivre mort."
(en écoutant Beggars Banquet)
(Hozan Kebo)

cf les commentaires du billet "Ne pas vivre mort (Pascal Quignard)

(mais oui, cliquez donc sur les vignettes ci-dessus pour afficher les graph'poèmes d'Hozan Kebo en plus grand,
c'est très vivement reccommandé par Daily Life !)

Satisfaction (avec Hozan Kebo)

Hozan Kebo nous adressé une réponse au commentaire de Michel Jeannès concernant le billet "Battre le pavé / bonus (2009)", du 9 octobre dernier :

"peut-on ne pas satisfaire illico un désir de Monsieur Bouton ?" (Hozan Kebo)

(HK/LR)

Note de la rédaction de Daily Life : Michel Jeannès parlait de colibri dans le smiley. Et là…

Petite correction (envoi d'Hozan Kebo)

(pour voir le billet original, avant détournement par Hozan c'est ici)

"Je me permets de corriger une erreur (bien compréhensible pour une "non-spécialiste") dans ton dernier billet
Ce que tu décris comme "un minuscule skateboard, destiné à l'usage de doigts agiles… (finger skate)" est en réalité un skate pour colibri (il est extrèmement rare de pouvoir photographier un colibri sur un de ces skates)"
(Hozan Kebo)

 

(HK/LR)

Microbe !!!

Autrefois, un "microbe" était simplement un micro-organisme invisible à l'œil nu, sans forcément être pathogène (mais oui, vous pouvez vérifier dans le Petit Robert).
C'est effectivement le cas de Microbe, petite revue de poésie soigneusement cultivée dans le laboratoire belge d'Eric Dejaeger, et contre lequel il serait dommage de se prémunir. D'ailleurs "il n'y a aucun plan de vaccination prévu contre Microbe ! Vive la pandémie microbienne !".
Le numéro 55 de cette revue consacrée aux textes ultra-courts et jamais emphatiques a été coordonné par Roger Lahu. Les fidèles de Daily Life y retrouveront quelques auteurs familiers : Hozan Kebo, et [ah… je ne vous le dirai pas !!!], et aussi moi-même, pour un texte sur le rapport à la création.

Si vous souhaitez vous aussi être inoculé, n'hésitez pas à contacter Eric Dejeager, pour un envoi transfrontalier sous une innocente enveloppe.

Au sommaire :

Jean-Christophe Belleveaux
Françoise Bénassy
Michel Bourçon
Henri Chiparlart
Antoine Emaz
Harry Ergout
Geneviève Hélène
Hozan Kebo
Thierry Le Pennec
kl loth
Sébastien Ménard
Hervé Merlot
Marc Papillon
Alexis Piron
Alain Sagault
Thomas Vinau

Les illustrations sont de Henri Chiparlart.

Que choisir ? (par Hozan Kebo)

détourné par Hozan Kebo

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Commentaire de Daily Life : là, il y a de quoi se casser le bec ¡

Ici ou là (avec Hozan Kebo)

"IcI quI gIt ?
(sous les pavés quels os ?)
(parce que toujours : "y'a un os!")

(tiens : Issi Kigi
ça sonne bien ça !
envie soudaine d'écrire les œuvres pré-posthumes
de ce poète nippon du XVIeme siècle
connu aussi sous le nom de "tas d'os"
tant il était maigrichon)"

(Hozan Kebo)

(HK/LR)

Road Movie (driven by Hozan Kebo)

(envoyé par Hozan Kebo)

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Note de la rédaction de Daily Life :
les voyages forment la jeunesse,
la route magnifie les escargots…

escarcolibrisation (proposé par Hozan Kebo)

(envoi d'Hozan Kebo)

Coeurs (par Hozan Kebo)

La carte postale originale :

« cœur de sable, cœur sablé » (2009)
carte postale éditée  en noir et blanc à 500 exemplaires
juillet 2009
10,5 x 15 cm
éd. cARTed

à voir en plus grand sur kl-loth.com

© kl loth 2009

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"échos à tes cœurs  :
je paye mon écôt ?" (Hozan Kebo)

 

(HK/LR, avec mes remerciements)

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Remarque de kl loth : J'ai eu la surprise de voir réapparaître la couleur rouge, traditionnelle pour les images de cœurs…

J'avais apprécié que cette édition cARTed soit en Noir et Blanc… cela fait partie de mes intentions de glisser des grains de sable dans l'imagerie sentimentale !

J'apprécie beaucoup l'image du sablier, et le renforcement de la notion de temps.

(sans titre)

Inspiré par Hozan Kebo (ici),
un message qui n'arrive pas à être
vide…

Dire beaucoup ? (H. Incorporated)

Melody Haunts My Reverie, le blog d'H. Incorporated surprend d'emblée par son aspect dépouillé de tout ce qui structure et contraint fortement la quasi totalité des blogs : pas de "derniers commentaires publiés", de calendrier, de dates de publication etc. Pas de contours délimitant les blocs. Juste l'indispensable…

On y est très loin des récits des événements quotidiens, des opinions et des humeurs au fil du temps.
Il s'agit d'un travail très composé, procédant par agencements de musiques (élément central, occasion de belles découvertes), de citations et extraits de livres, d'images, clips vidéos… Le travail est à la fois sur le contenu, la forme (mises en valeur typographiques), la chronologie bousculée par les liens hypertexte.

(J'y reviendrai plus en profondeur)

J'aime quant à moi à pratiquer des arrêts sur phrase, à partir de phrases captées dans la rue, les médias, ou la littérature, dans une exploration des relations affectives.

Une phrase a tout particulièrement retenu mon attention sur Melody Haunts My Reverie :

J
ai
besoin
de
toi
(qui dans son contexte est associée à un morceau d'Alec Empire)

J'aurais pu l'utiliser telle quelle… j'ai préféré réagir à sa biffure (qui m'évoque la notion de repentir en peinture).
Le résultat fut la carte postale éditée au sein du réseau cARTed, Je n'ose pas le dire, dédiée bien sûr à H. Incorporated.

Carte postale à laquelle le poète Hozan Kebo proposa plusieurs "échos", sous le titre "Faut oser !" (à voir ici). Échos auxquels H. Incorporated répond par une nouvelle page : "Sigur Ros : Intro"

 

Je reviendrai, je l'ai dit, promis, sur le contenu du site. Mais on peut d'ores et déjà remarquer que "dire" est une notion que Melody Haunts My Reverie développe dans toute sa complexité. Quelques exemples :

— "Don't believe a word I say" (Charlie Finke), sur la page "Penthouse : Voyeur's Blues"

— "tout / reste / à dire", sur "Sigur Ros : Intro"

— ainsi que "Tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous" (Laurie Lynn Drummond, livre publié aux éditions Rivages/Noir Payot et Rivages en 2009)

— "Dis-moi des choses" (Dave Klein in James Ellroy, White jazz), "Ania & le Programmeur : Agathe"